Les Oblitérations convoyeurs d’Alsace-Lorraine type ambulant 1919/1940
Article modifié le 10/09/2024.
Oblitération ferroviaire d’Alsace et de la Lorraine.
Carte des lignes ferroviaires allemandes en 1918.
Après la fin de la 1ère guerre mondiale, l’Alsace et la Lorraine qui étaient sous administration allemande vont être rattachées à la France. Au début, les postiers français de la poste ferroviaire vont utiliser le matériel allemand saisi à l’ennemi mais également employer le personnel local. Dès 1919, le matériel oblitérant français sera prêt et remplacera petit à petit le matériel allemand. Malgré l’oblitération ronde des ambulants, il faut les considérer comme des convoyeurs. Pour deux raisons:
1) l’administration et le personnel allemand des ambulants ne faisaient pas la différence entre les ambulants et les convoyeurs aussi bien dans leurs taches que dans les oblitérations.
2) Dans les oblitérations ferroviaires fournies par l’administration française à partir de 1919, vous ne trouverez pas de lettre de brigade dans la couronne des ambulants.
En conclusion, l’administration des PTT et des chemins de fer ont laissé les services tels quels avec le personnel d’Alsace-Lorraine qui était devenu de fait un personnel français, sauf pour le personnel de nationalité allemande qui sera écarté progressivement.
Sauf
que l’administration des postes, avec son bulletin de juin 1924, en considère certains comme des ambulants.
Les chemins de fer A.L. sont constitués par un arrêté en date du 19 juin 1919 et un décret du 30 novembre 1920. Il place la nouvelle administration sous la tutelle directe du ministère des Travaux Publics. La cession définitive est consacrée par l’article 67 du traité de Versailles signé le 28 juin 1919 : « Le gouvernement français est subrogé dans les droits de l’empire allemand sur toutes les lignes de chemin de fer gérées par l’administration des chemins de fer de l’empire et actuellement en exploitation ou en construction. Cette subrogation ne donnera lieu à la charge de l’État français à aucun paiement. » Le réseau A.L. est incorporé le 1er janvier 1938 à la Région de l’Est de la SNCF.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_ferroviaire_d%27Alsace-Lorraine
Dans le modèle allemand, les trains circulent à droite comme les véhicules automobiles. La signalisation ferroviaire est installée également à droite au contraire des trains français qui eux circulent à gauche avec une signalisation située à gauche. Le coût des travaux pour remettre le réseau à gauche, y compris les gares, la signalisation etc. étant prohibitif, la circulation des trains de l’Alsace-Lorraine va rester sur le modèle allemand après la restitution par l’Allemagne du réseau ferré début 1919. Le problème fut réglé en installant des sauts de mouton sur le parcourt en entrant ou en sortant du réseau de l’Alsace-Lorraine. Ce qui permettait à chaque train de se retrouver dans le bon sens de la marche. Les trains français circulent à gauche car nous avons pris le modèle anglais.
Carte des lignes ferroviaires de la S.N.C.F. en 1939.
Toutes les oblitérations sont au type 3. Les brigades N°1 sont considérées comme des brigades de jour. Les brigades N°2 sont des convoyeurs de nuit. Les brigades N°3 sont considérées comme des brigades de jour si elle démarrent aux petites heures du matin.
Je donne des explications sur la création des lignes de chemin de fer. En aucun cas ces même dates établissent la création du convoyeur.
Abréviations:
CPE=carte postale étranger
CPI=carte postale illustrée
CP 5 mots= carte postale avec 5 mots, la signature ne compte pas pour un mot.
LDI=lettre double intérieur
LSI=lettre simple intérieur
Lien sur la création des lignes de chemin de fer en Alsace-Lorraine. Article de Joël Forthoffer mis en ligne en 2015.
https://journals.openedition.org/rhcf/2047
Site sur le réseau d’Alsace Lorraine.
Le retour, il y a 100 ans, du réseau Alsace-Lorraine.
D’après Michel Frick de la SPAL aucun timbre à date n’est connu pour Bischwiller à Oberhoffen, Bliesbruck à Sarreguemines ou Bouxwiller à Ingwiller pour la lettre B par exemple). Ce sont des informations fantaisistes publiées par Pothion et reprises par de multiples auteurs y compris dans une étude de la SPAL dans les années 80.
Abreschwiller à Sarrebourg
Ligne ouverte en 1892 pour desservir les localités forestières de la vallée de la Sarre Rouge. Cette ligne connut un trafic de 8 trains journaliers en 1914.
Aller, vu 1928.
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Algrange à Thionville
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Audun le Tiche à Luxembourg
En 1880, le réseau Guillaume-Luxembourg construit une antenne jusqu’à Audun-le-Tiche et Rédange, hauts lieux miniers.
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Audun le Tiche à Metz 1°
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Audun le Tiche à Thionville
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Avricourt à Bénestroff
En 1864 est construit un embranchement entre Avricourt et Dieuze, pour desservir les fabriques chimiques de cette dernière localité. Le tracé est prolongé en 1882 jusqu’à Bénestroff.
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Bâle à Luxembourg 1°
Jean Pothion signale avant 1939 pour ce convoyeur, mais dans le premier semestre de 1939, les convoyeurs et les ambulants ont circulé. Dans le deuxième semestre de 1939, un premier ordre d’évacuation de la population est activé. Nous savons que les convoyeurs français n’ont pas fonctionné de 1940 à 1945 dans trois des départements de l’Alsace-Lorraine puisque les lignes sont reprises par l’administration allemande le 15/07/1940.
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Bâle à Luxembourg 2°
Avant 1939.
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Bâle à Luxembourg 3°
Avant 1939.
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Bâle à Mulhouse 1°
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Bâle à Mulhouse 2°
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Bâle à Strasbourg 1° est à considérer comme un ambulant
Mise en service le 22/08/1841.
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Bâle à Strasbourg 2 est à considérer comme un ambulant. A noter qu’il est inscrit dans le tableau de marche: Strasbourg à Bâle, aller.
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Bâle à Strasbourg 2°
Avant 1939.
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Bâle à Strasbourg 3°
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Belfort à Mulhouse 1°
Pendant la seconde guerre mondiale, le territoire de Belfort ne fait pas parti des départements annexés comme l’Alsace-Lorraine. Il fait parti des zones réservées sous l’égide de l’occupant allemand.
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Belfort à Mulhouse 2°
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Belfort à Mulhouse 2°
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Note: Mulhouse à Belfort 2° et Mulhouse à Belfort 3° (celui-ci n’étant pas signalé) sont à considérer comme des ambulants en 1924.
Belfort à Strasbourg 1
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Belfort à Strasbourg 2
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Bettlainville à Merzig
Ligne à caractère stratégique construite pendant la première guerre mondiale, elle comporte de relativement fortes déclivités de 17 mm/m. La ligne sera fermée au trafic voyageur en 1948 et à tout trafic en 1959.
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Bischwiller à Oberhoffen (n’existe pas selon la SPAL)
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Bliesbruck à Sarreguemines (n’existe pas selon la SPAL)
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Bollwiller à Lautenbach
En 1870 est mise en service la liaison Bollwiller-Bouxwiller par la France prolongée par l’ Allemagne en 1884 jusqu’à Lautenbach. Trafic voyageur supprimé en 1969.
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Bollwiller-Lautenbach 1
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Bollwiller-Lautenbach 2
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Bouxwiller à Ingwiller (n’existe pas selon la SPAL)
Petit raccordement de 7 km, ouvert en 1889, entre les lignes de Strasbourg à Sarreguemines et de Saverne à Haguenau, comportant une unique station intermédiaire, Langensoultzbach.
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Bouzonville à Metz
Le tronçon Bouzonville-Dillingen est ouvert en 1901 et prolongé jusqu’à Metz en 1908. La première section connaît un fort trafic dû aux activités minières et métallurgiques, la seconde, elle, a été construite dans un but plus stratégique
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Burthecourt à Vic sur Seille
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Cernay à Sewen
Construction de la ligne: Cernay-Sentheim (1865), Sentheim-Masevaux (1884) et Masevaux-Sewen (1901).
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Cernay à Sewen 1°
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Retour, forte probabilité d’une activité pour ce convoyeur après 1945.
Cernay à Sewen 2°
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Château-Salin à Metz
Ligne construite en 1904, ouverte en deux étapes: Château-Salins – Liocourt puis Metz-Liocourt. La ligne est l’une des premières à subir la concurrence de l’autocar dès 1936, et son trafic en souffra fortement.
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Colmar à Ensisheim
Initialement ouverte et exploitée à partir de 1901 à voie métrique par l’EL, la ligne est mise à voie normale par le génie militaire allemand en 1915.
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Colmar à Markolsheim
Ligne de la KTB( Kaysersberger Thalbahn) , qui fut ouverte vers 1890, part de la gare centrale de Colmar, mais en direction du Rhin, pour desservir le Ried. Peu après le début de son exploitation, elle fut confiée à l’EL. Sur cette ligne, on note 5 à 7 allers-retours journaliers. La ligne fut fermée en 1950.
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Colmar à Neuf-Brisach
Ligne construite en 1878. Avec la destruction en février 1945 du pont ferroviaire sur le Rhin entre Neuf-Brisach et Breisach, prend également fin l’exploitation de la ligne Colmar-Freiburg im Breisgau. A partir des années 1950, la desserte voyageurs est réduite à 2 allers-retours quotidiens entre Colmar et Neuf-Brisach, et dès 1969 ces deux circulations qui déjà ne s’effectuaient plus qu’en semaine, sont supprimées et remplacées par un aller-retour en autocar.
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Conflans à Metz 1°
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Conflans à Metz 2°
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Dannemarie-Pfetterhouse
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Diemeringen-Drulingen-Schalbach
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Drulingen à Lutzelbourg
Un premier embranchement fut ouvert en 1914 depuis Drulingen avec pour objectif de créer une relation stratégique en reliant les deux grandes transversales Strasbourg-Réding (Paris ou Metz) et Strasbourg- Sarreguemines. La guerre stoppa les travaux qui furent repris par l’AL en 1922, jusqu’à Schalbach et en 1936 jusqu’à Drulingen.
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Drulingen-Phalsbourg-Lutzebourg
La ligne, surnommée affectueusement « Eselbahn » (le chemin de fer des ânes) fut construite en 1883 en vue de desservir les carrières de grès des environs ainsi que la ville de garnison de Phalsbourg (Pfalzburg). La ligne sera prolongée en 1903 jusqu’à Drulingen. Le tracé part de la petite gare de Lutzelbourg, située sur la ligne Paris-Strasbourg, et après un passage dans une zone vallonée, remonte sur Maisons-Rouges où se trouve un charmant petit dépôt. La ligne poursuit vers le nord après s’être séparée de l’antenne allant à Phalsbourg. La ligne ne survivra pas aux années 60.
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Ferrette à Mulhouse 1°
Ligne construite en 1892 entre Altkirch et Ferrette.
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Ferrette à Mulhouse 2°
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La Forge à Vallerysthal
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Hagondange à Moyeuvre-Grande
Depuis 1862 existait une voie privée appartenant à la Sté De Wendel entre Hagondange et Moyvre. En 1877, De Wendel demanda l’autorisation de la prolonger jusqu’à Joeuf (de l’autre côté de la frontière), ce qu’il reçu, à condition qu’elle ne se connecte pas au réseau français. De Wendel passa outre en 1884, et provoqua la colère de l’administration impériale. Celle-ci construisit en 1888 une ligne parallèle à la première.
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Haguenau à Saarbrücken
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Haguenau à Sarreguemines
En 1864, pour desservir les usines De Dietrich de Reichshoffen est établie une relation Haguenau-Niederbronn, prolongée en 1869 jusqu’à Sarreguemines, permettant ainsi l’acheminement à moindre coût du charbon sarrois.
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Haguenau à Saverne
La voie ferrée de Saverne à Bouxwiller a été posée en 1877 puis prolongée vers Haguenau en 1881. La ligne fut fermée aux voyageurs en 1970 puis aux marchandises en 1989. La voie a alors été déferrée puis transformée en piste cyclable.
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Hargarten à Thionville 1°
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Hargarten à Thionville 2°
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Kalhausen à Sarralbe
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Kruth à Mulhouse 1°
Sur son tronçon Lutterbach-Thann, c’est une des plus anciennes lignes de chemin de fer d’Europe: elle a été mise en service en 1839. Elle a été prolongée jusqu’à Wesserling en 1863 puis jusqu’à Kruth en 1901.
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Kruth à Mulhouse 2°
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Kruth à Mulhouse 3°
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http://jef.estel.pagesperso-orange.fr/cartillus.html
Lauterbourg à Strasbourg 1°
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Lauterbourg à Strasbourg 2°
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Lauterbourg à Wissembourg
La ligne de chemin de fer Lauterbourg – Wissembourg longue de 20 km a été inaugurée en juin 1900. À son ouverture, elle accueillait quotidiennement 6 allers-retours et le trajet durait 40 minutes. En 1947, la ligne a été fermée au service voyageurs et le tronçon de Scheibenhard à Wissembourg est resté ouvert au service marchandises jusqu’en 1958, essentiellement pour le transport d’amidon et de pétrole (des pompes à balancier témoignent encore de cette exploitation). La voie a été en grande partie transformée en piste cyclable, intégrée en 1993 dans la véloroute franco-allemande de la Vallée de la Lauter (Lautertal Radweg).
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Lembach à Walbourg 1°
Construite à partir de 1891, mise en service jusqu’à Lembach en 1899, cette voie ferrée unique était utilisée pour le transport des marchandises et des voyageurs, habitants de la haute vallée de la Sauer et curistes allant prendre les eaux à Morsbronn-les-Bains. Plus tard en 1930, elle fut également utilisée pour la desserte des ouvrages du Four à Chaux et du Hochwald, pièces majeures de la Ligne Maginot alors en construction. Exploitée jusqu’en 1975, seul le trafic marchandise reprend. Les usagers de cette ligne sont transportés par autocar privés à partir de 1947. Elle a été reconvertie en 1990 en véloroute voie verte et propose un parcours en site propre de 13km le long de la rivière Sauer.
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Lembach à Walbourg 2°
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Longuyon à Thionville
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Lutzelbourg à Phalsbourg
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Luxembourg à Metz
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Luxembourg à Strasbourg 1°
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Luxembourg à Strasbourg 2°
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Marckolsheim à Strasbourg 1°
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Marckolsheim à Strasbourg 2°
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Metz à Moyeuvre-Grande 1°
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Metz à Moyeuvre-Grande 2°
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Metz à Nancy
Ouverture de la ligne le 10/07/1850. Nancy ne fait pas partie de l’Alsace-Lorraine mais fait partie du département de la Meurthe et Moselle.
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Metz à Nancy*
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Metz à Sarrebourg
Mise en service en 1877.
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Metz à Sarrebruck
Avant 1944
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Metz à Sarrebruck*
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Territoire occupé en Allemagne, Sarre: l’ambulant Metz à Sarrebruck.
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Metz-Sarrebruck*
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Metz à Sarreguemines
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Metz à Strasbourg 1°
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Metz à Thionville
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Metz à Trèves 1°
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Metz à Verdun*
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Molsheim à Saverne 1°
Molsheim est reliée à Saverne par une ligne de chemin de fer à voie unique en 1877. Double voies en 1932. Fermeture du trafic voyageur en 1969 et marchandise en 1988. Voies déposées depuis.
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Molsheim à Saverne 2°
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Molsheim à Saverne 3°
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Molsheim à Strasbourg 1°
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Mulhouse à Müllheim 1°
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Mulhouse à Müllheim 2°
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Mulhouse à Neuenbourg
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Mulhouse à Strasbourg 1°
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Mulhouse à Strasbourg 2°
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Mulhouse à Strasbourg 3°
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Nancy à Sarrebruck
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Nancy à Sarreguemines
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Nancy à Strasbourg
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Nancy à Strasbourg 1°
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Nancy à Strasbourg 2°
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Nouvel-Avricourt à Strasbourg 1°
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Nouvel-Avricourt à Strasbourg 2°
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Ottrott à Rosheim
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Reschwoog à Saverne
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Rodemack à Thionville
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Reschwoog à Saverne
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Roeschwoog à Saverne 1°*
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Roeschwoog à Saverne 2°*
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Saales à Strasbourg 1°
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Saales à Strasbourg 2°
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St Louis-Waldighofen
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Saint Louis-Waldighofen
Les travaux de cette ligne furent entrepris juste avant 1914, puis continués par le génie militaire allemand et l’ouverture eu enfin lieu en 1920.
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Saint Louis les Bitche à Wingen-sur-Moder
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Saint Louis les Bitche à Wingen-S-M
C’est en 1897 que fut ouverte cette antenne, avant tout pour desservir les cristalleries de la région de St-Louis-les-Bitche. Le tracé est assez tourmenté, il comporte un viaduc de 34m à Rosteig puis après un tunnel de 558m on débouche sur la gare de Soucht avant de repasser dans un tunnel de 154m et atteindre Meisenthal et St-Louis-les-Bitche
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St Marie aux Mines à Schlestadt 1°(nom allemand de Sélestat)
Mise en service en 1867. Plus tard on relia Ste-Marie-aux-Mines à St-Dié . En 1933, les travaux de percement du plus long tunnel (6674m) ayant ses deux têtes en France commencent et s’achèvent en 1937. Ces travaux ont coûté 60 MF de l’époque. Le tunnel est abandonné en 1971 et transformé en tunnel routier.
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St Marie aux Mines à Schlestadt 2°
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Sarrebourg à Sarreguemines
Ouverte en 1872. l’Allemagne ouvre la ligne Sarreguemines-Sarrebourg via Sarralbe.
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Sarrebourg à Sarreguemines 1°
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Sarrebourg à Sarreguemines 2°
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Sarrebourg à Trois Fontaines
Antenne greffée sur l’antenne de Sarrebourg à Abreschwiller, mise en exploitation en 1892, peu après cette dernière. A Vallerysthal une petite remise permet d’accueillir une locomotive. A La Forge les trains venant de Vallerysthal et d’Abreschwiller fusionnaient ou se scindaient afin de ne former qu’une seule rame entre La Forge et Abreschwiller.
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Sarrebruck à Thionville
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Sarreguemines à Strasbourg
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Sarreguemines à Strasbourg 1°
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Sarreguemines à Strasbourg 2°
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Schlestadt à Sundhausen 1°
Cette petite antenne fut ouverte en 1908.
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Schlestadt à Sundhausen 2°
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Schlestadt à Villé 1°
Ligne vosgienne construite en 1891, remontant la Liepvrette (c’est l’endroit où l’on a la première mention au monde de chemin de fer: dans les mines d’argent au XVIIème) construite en partie en accotement de route. Le terminus de Villé possédait une petite remise à locomotives. Desserte voyageur abandonnée avant 1950.
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Schlestadt à Villé 2°
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Schlestadt- Molsheim-Strasbourg 1°
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Schlestadt- Molsheim-Strasbourg 2°
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Sélestat- Molsheim-Strasbourg 1°*
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Sélestat- Molsheim-Strasbourg 2°*
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Seltz à Walbourg 1°
Ce tronçon faisait partie de l’ancienne ligne d’intérêt stratégique construite en 1893 qui reliait Walbourg à Seltz. Elle servit au transport des voyageurs comme des marchandises notamment des briques, des tuiles et objets en céramique produits dans cette contrée.
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Seltz à Walbourg 2°
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Sierck (les bains) à Thionville
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Strasbourg à Trois Fontaines
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Strasbourg à Truchtersheim 1°
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Strasbourg à Truchtersheim 2°
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Strasbourg à Westhoffen 1°
La voie verte emprunte l’ancienne voie ferrée de la ligne de tramway interurbain Strasbourg – Westhoffen.
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Strasbourg à Westhoffen 2°
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Strasbourg à Wissembourg 1 °
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Strasbourg à Wissembourg 2°
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Liens:
http://histoiredurail.free.fr/index.html
http://elsassbahn.free.fr/ligne2c7f.htm
http://elsassbahn.free.fr/ligne8a9e.htm
http://elsassbahn.free.fr/ligne10b11g.htm
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5597867s/f4.image.r=ambulant%20mons%20%C3%A0%20paris
Biblio:
La poste ferroviaire en Alsace-Lorraine, 1945/95. Ed. SPAL, Michel Frick. 2014
La poste ferroviaire de ses débuts à 1870 et La poste ferroviaire de 1871 à 1914. Pierre Lux, Académie de philatélie. 1992 et 1998.
Bureaux ambulants, France, 1845/1965. Jean Pothion, la poste aux lettres 1986.
Marianne 1983/84 pour les tarifs postaux.
5 réflexions sur « Les Oblitérations convoyeurs d’Alsace-Lorraine type ambulant 1919/1940 »
Bonjour,
Très intéressant votre site. J’y ai trouvé décrit un timbre à date que je n’avais jamais rencontré : une oblitération ronde pour un convoyeur, d’habitude avec une ondulation. Il s’agit du convoyeur ligne Lautenbach a Bollwiller (je pourrais envoyer un scan si j’ai une adresse mail).
En revanche, je n’y ai pas trouvé celui de Conflans-Metz qui est ondulé avec un astérisque en haut et un autre en bas du bloc dateur. Là aussi, je pourrais vous envoyer un scan pour que vous m’en disiez plus sur ce timbre à date.
Cordialement.
JF CARDE
Bonjour,
Pourriez-vous me transmettre votre adresse mail, je vous enverrai au fur et à mesure un scanne des ambulants que je dispose au départ et arrivée de Thionville sur cette période.
Cordialement
Je vous réponds via votre boite courriel, jm
Je découvre votre site qui semble très complet pour cette région pas facile avec les occupations. Je collectionne toutes les oblitérations ferroviaires françaises : ambulants, convoyeurs lignes et stations, cachet de gare et intéressé par tout ce qui touche cette spécialité : littérature, cartes ferroviaires, etc. Je peux aussi vous faire part de mon expérience dans ce domaine et de vous indiquer toute ma littérature.
hello
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