La poste ferroviaire en Alsace-Lorraine (A/L) 1945/90.
Article modifié le 21/07/24.
Dans cette étude, j’ai inclus la liaison avec Belfort et la connexion avec Sarrebruck. La Sarre (land allemand) sera administrée par la France de 1945 à 1956.
Pour la recherche des oblitérations ferroviaires de A/L, je me suis calqué sur le territoire occupé par l’administration militaire allemande.
Au vu des dégâts occasionnés par les différentes armées pendant la seconde guerre mondiale, surtout dans le Bas Rhin, on rencontre plus aisément ces oblitérations au début des années 1950. De longs mois ont été nécessaire pour rendre le trafic ferroviaire opérationnel. Beaucoup de bâtiments ont été à reconstruire. Pour l’Alsace 47 ponts ou viaducs sont à reconstruire par la SNCF, travaux prévus pour l’année 1946/47.
https://openarchives.sncf.com/archive/4008
https://openarchives.sncf.com/archive/0187lm0865
Pour les oblitérations, les millésimes 1945/46/47/48 sont rares. Dans les faits, on recense cinq lignes de convoyeur en activité entre 1945 et 1947. Les convoyeurs de type ondulés de type 3 disparaissent avant 1970. Reste deux convoyeurs de type 4 avec une couronne ronde dans les années 1980 plus un service de convoiement. Après 1990, les services de convoyeur ont complètement disparu en Alsace/Lorraine. Il reste quelques ambulants au départ de Paris pour Belfort, Metz ou Strasbourg, qui disparaitront petit à petit au fil du temps pour s’effacer complétement en 1995. Les oblitérations sont classées par ordre alphabétique. Dans les couronnes d’oblitération, les millésimes sont à deux chiffres entre 1945 et 1947. Ils sont à quatre chiffres par la suite.
Liste des convoyeurs de type 4 ci-dessous.
Les convoyeurs avec couronne d’ambulant et deux étoiles dans la couronne 1960/1990
Plan:
La SNCF en Alsace/Lorraine (A/L) 1939/40.
L’annexion par l’Allemagne.
La libération.
Les années 1950/70.
Poste ferroviaire.
Convoyeurs militaires français, au départ de Strasbourg, pour l’Allemagne et l’Autriche.
Liens et Biblio.
Evolution du réseau ferré en France.
La SNCF en Alsace/Lorraine (A/L) 1939/40.
Six départements composent l’Alsace/Lorraine: ils sont constitués des départements du Bas Rhin et du Haut Rhin, de la Meurthe et Moselle, de la Meuse, de la Moselle et des Vosges,
Une partie de la Moselle, le Bas Rhin et le Haut Rhin ont une région frontalière en vis à vis avec l’Allemagne. C’est la raison du début de la construction dès 1930 de la ligne Maginot sur ces territoires. Un plan de repli de cette région en cas de conflit armé est également priorisé. Evacuation des populations et déplacement des industries font partie des grandes lignes de ce plan. En 1939, avec « la drôle de guerre », le réseau ferroviaire A/L va marcher à plein avec l’envoi de troupes pour l’occupation de la ligne Maginot. L’intendance suit: envoi de matériels, de ravitaillements, d’armements nécessaires à une défense active et acheminement de matières premières comme le coke ou du charbon.
Les lignes ferroviaires de A/L représentent plus de 2300km de voies ferrées.
Deux évacuations notables (septembre 1939 et mai 1940) feront partir 1.2 millions habitants de ces régions vers d’autres départements où la SNCF va jouer son rôle de canalisateur pour le transport d’une partie de ces populations déplacées. Ces mesures d’évacuation touchent également la SNCF. Les gares proches du front sont évacuées : 56 en Moselle, 33 dans le Bas-Rhin et 18 dans le Haut-Rhin. , fin 1939, près de 6 000 agents sont évacués sur d’autres régions SNCF et, avec eux, environ 5 000 wagons chargés de matériel.
En mai 1940, le redéploiement des troupes françaises s’organise et elles coupent les ponts sur le Rhin. En se retirant d’Alsace, l’armée française détruit les principaux axes de communication. Elle fait sauter 109 ponts de chemin de fer. Le réseau ferré est désorganisé, 12 tunnels sont inutilisables, 250 km de rails et 1 100 aiguillages sont hors service.
Les Allemands franchissent le Rhin le 15 juin. Les troupes françaises battent en retraite sauf pour une partie de la ligne Maginot qui tiendra ses lignes. L’armistice est signée le 22 juin. Le 15 juillet 1940, les Allemands informent la SNCF qu’ils exploitent désormais eux-mêmes les lignes de l’Alsace et de la Lorraine sur les territoires reconquis.
L’annexion
La Moselle est rattachée au Gau de Sarre-Palatinat qui devient le Westmark avec comme chef-lieu Sarrebruck. L’Alsace, rattachée au Gau de Bade, devient l’Oberrhein, chef-lieu Karlsruhe. Gau est un terme allemand aux aspects territoriaux et administratifs. En novembre 1940, des villages entiers situés à l’ouest de la voie ferrée Sarrebourg – Metz – Thionville sont vidés. Entre le 12 et le 22 novembre 1940, 66 trains transportent 57 655 habitants des zones de Moyeuvre, Courcelles-Chaussy, Dieuze, Héming et Abreschwiller vers le Sud-Est.
Les expulsés sont rassemblés à Metz-Queuleu et embarquent avec un bagage limité à 50 kg pour un adulte et 30 pour un enfant. Les convois ainsi formés font escale à Lyon en gare des Brotteaux.
Là, ils sont pris en charge par la Croix Rouge et l’administration de Vichy (gouvernement français). L’autorité allemande expulse également de ces trois départements les agents de chemin de fer qui n’en sont pas originaires. En Moselle, près de 1 600 cheminots sont expulsés et plus de 1000 gagnent clandestinement la France non occupée. Le nombre des expulsés est évalué à 270 000 personnes, soit 225 000 pour la Moselle et 45 000 pour l’Alsace. Dans le terme « expulsés », il faut entendre le sens que lui donne l’administration militaire allemande, c’est à dire celle des indésirables: français non nés dans le territoire annexé à l’Allemagne (voir la carte ci- dessous), ressortissants d’Afrique du Nord, gens de couleurs, juifs de toutes nationalités et les communistes. Evidemment, tous leurs biens sont spoliés.
Les Allemands exigent le retour au pays des Alsaciens-Lorrains évacués en 1939.
En 1940, 408 000 réfugiés furent rapatriés comme suit :
— de fin juillet à début octobre, 228 000 personnes, avec des trains spéciaux de rapatriement ;
— à partir de novembre, 20 000 personnes par des liaisons ferroviaires régulières ;
— le restant de la population a emprunté les cars, voitures particulières, camions et autres moyens divers de rapatriement.
Le 20 octobre1940, la presse alsacienne annonce le retour de 300 000 évacués. Le 15 janvier 1941, 134 800 strasbourgeois sont rentrés. L’usage de la langue française est interdit et la langue allemande devient officielle le 24 juillet 1940.
En octobre 1940, les autorités allemandes mettent en demeure la SNCF de restituer à l’ancien réseau A/L, les 3 186 voitures et 444 fourgons du parc de ce réseau, au titre de dommage de guerre, et surtout pour compléter l’effectif du matériel de la Deutsche Reichsbahn. Il s’agit en majeure partie de matériel évacué à partir de 1939.
La libération
Le 1er janvier 1945, la Wehrmacht occupait encore la poche de Colmar et, au nord de Strasbourg, toute la région comprise entre la ligne Sarreguemines, Obermodern, Strasbourg et la frontière allemande. Les Allemands utilisèrent ce répit pour procéder aux destructions ciblées des voies ferrées, des installations, des ouvrages d’art et pour bombarder les centres ferroviaires de Hausbergen, Saint-Louis, Colmar et Strasbourg.
Les voies, les ponceaux, les gares, les signaux furent méthodiquement arrachés ou dynamités.
Les destructions furent telles dans cette région que le département du Bas-Rhin compte parmi les plus sinistrés du point de vue de son réseau ferroviaire.
Avant de se replier, les Allemands ont vidé gares, dépôts et ateliers : 680 wagons de machines-outils partent de Metz, 537 wagons de Bischheim. La gare de Metz est libérée une première fois le 31 août 1944. Reprise, elle est libérée définitivement fin novembre, tout comme celle de Strasbourg.
En octobre 1944, on commence à établir un bilan provisoire des destructions. Il est terrifiant : plus un pont sur la Moselle et quasi également sur le Rhin. En mars 1945, le pont de Neuf Brisach est détruit sur le Rhin lors des combats, les éléments récupérables sont transportés par péniches vers Chalampé pour rétablir le pont de Neuenbourg. En février 1945 encore, le pont de Chalampé est détruit par la Wehrmacht. Les Allemands, avant leur retraite, ont labouré les voies ferrées avec un engin spécial appelé “ Schienenwolf ” (loup ferroviaire), endommageant partiellement d’importantes sections de lignes comme à Montreux-Vieux.
Dégâts occasionnés par le “ Schienenwolf ” (loup ferroviaire).
Pour ne prendre qu’un exemple des vicissitudes successives de ces ouvrages d’art, le pont de Roppenheim est détruit partiellement par l’armée française le 13 octobre 1939, réparé par la Wehrmacht, puis les trois travées centrales sont de nouveau détruites en mars 1945. La reconstruction de l’ouvrage n’est achevée qu’en mai 1949, soit dix ans après la première destruction.
Le rétablissement des communications ferroviaires exige travail et imagination et s’avère plus long que prévu sur le réseau A/L. Si les convois militaires peuvent passer sur des voies réparées le plus souvent avec des moyens de fortune, il faut attendre le 30 avril 1945 pour se rendre en train régulier de Paris à Metz et Strasbourg et le 7 mai à Mulhouse.
Le génie américain et les agents de la SNCF, aidés par les sapeurs du chemin de fer et des prisonniers, ont rétabli l’itinéraire Vendenheim-Haguenau le 20 septembre 1945 et l’accès à la gare de Wissembourg le 5 octobre 1945 seulement.
Les années 1950/70
Après le constat des dégâts occasionnés par la fin du conflit, force est de constater que la priorité est donnée aux lignes de chemin de fer rentable en terme de voyageurs ou de fret. Les petites lignes vont fermées les unes après les autres ou ne seront pas remise en service. La construction des locomotives dont l’Alsace était le berceau, va s’amoindrir au fil du temps. La SNCF qui était la première des clientes va se tourner vers le diésel et l’électricité pour les loco-tracteurs, locomotive, automotrice et autorail. Sur les lignes non électrifiées de l’A/L, les autorails diésel remplaceront les trains vapeurs. La production des filatures va décliner également. L’avènement des véhicules automobiles personnels et des autocars, participe également au déclin du chemin de fer. L’Alsace/lorraine se trouvent confrontées à des usines demandant de moins en moins de main d’œuvre et ces marées humaines qui prenaient le train pour se rendre au travail s’amenuisent petit à petit.
Poste ferroviaire
Généralement, il est admis que la brigade N°1 est une brigade de jour et la brigade N°2 est une brigade de nuit.
Ambulant:
Bâle à Luxembourg 2°
le 07/05/1945, la ligne Strasbourg/Bale est remise en service.
Cachet métal
Aller, brigade A/B/C/D. Signalé 1947/66.
Griffe:
Retour, A/B/C/D. Signalé 1947/66.
Cachet plastique, ils apparaissent en 1966.
Aller, A/B/C/D. Signalé 1967/84.
Retour, A/B/C/D. Signalé 1967/84.
Cet ambulant est supprimé à partir du 21/01/1984. Il est remplacé par un service d’escorte (S.C.). Ce service d’escorte est à considérer comme un courrier convoyeur.
Convoyeur
Avricourt-Bénestroff
Aller, signalé 1950/58.
Retour, ne semble pas exister.
Avricourt-Lunéville
Aller?
Retour, signalé 1959.
Je ne possède pas cette oblitération.
S.C. Bâle à Luxembourg
Aller, brigade A/B/C/D, connue du 22/01/1984 au 27/05/1990, date de sa suppression.
Retour, brigade A/B/C/D, connue du 22/01/1984 au 27/05/1990, date de sa suppression.
Bâle à Metz
Type 3
Aller, signalé 1961/68.
Retour, signalé 1961/68.
Je ne possède pas cette oblitération.
Type 4
Aller, signalé 1963/68
Retour, signalé 1962/67
Bâle-Strasbourg
le 07/05/1945, la ligne Strasbourg/Bale est remise en service.
Aller, signalé 1957/58
Retour ?
Bâle à Strasbourg
Type 3
Aller, signalé 1963/67.
Retour, signalé 1963/67.
Type 4
Aller, signalé 1982.
Retour, signalé 1982/87.
Belfort A Mulhouse
Aller ?
Retour, vu 1963/67.
Belfort A Mulhouse 1°
Aller, vu 1948.
Retour, signalé 1951/57.
Je ne possède pas cette oblitération.
Belfort A Mulhouse 2°
Aller, signalé 1948/50
Retour?
Je ne possède pas cette oblitération.
Il est possible que la brigade N°1 soit l’Aller et la brigade N°2 le retour.
Bening-Sarreguemines
Aller, 1951/58.
Retour, 1954.
Je ne possède pas cette oblitération.
Bitche A Haguenau 1°
Aller, signalé 1947/56
Retour, Signalé 1954/58
Je ne possède pas cette oblitération.
Bitche-Sarreguemines
Aller, signalé 1951/57.
Retour, signalé 1951/56.
Bollwiller A Lautenbach 1°
La ligne fut remise en service le 13/08/1945.
Aller?
Retour, signalé 1948/50
Je ne possède pas cette oblitération.
Bollwiller A Lautenbach 2°
La ligne fut remise en service le 13/08/1945.
Aller?
Retour, signalé 1945/50. Type 4 en 1945/46 (ce type avec une couronne d’ambulant était l’oblitération la plus courante entre 1920 et 1940 en A/L), type 3 ondulé ensuite.
Cernay A Sewen 1°
La ligne fut remise en service le 10/09/1945.
Aller ?
Retour, signalé 1946 au 07/01/47.
Cernay A Sewen 2°
Aller ?
Retour, signalé 1945/47.
Je ne possède pas cette oblitération.
Colmar à Metzeral
La ligne fut remise en service le 06/05/1945.
Aller?
Retour, signalé 1962/63
Je ne possède pas cette oblitération.
Colmar à Mulhouse
Aller?
Retour, signalé 1963/67.
Colmar à Mulhouse 2°
Aller, signalé 1948.
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour, signalé 1948/58.
Colmar A Munster 1°
Aller, signalé 1955
Retour, signalé 1953/55
Je ne possède pas cette oblitération.
Colmar A Munster 2°
Aller, signalé 1947/52
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour, vu 1947/60
Colmar-Strasbourg 1°
Aller?
Retour, signalé 1949/52
Colmar-Strasbourg 2°
Aller, signalé 1949/52
Retour, vu uniquement 1951.
Conflans-Metz
Aller, signalé 1950/56.
Retour?
Dannemarie à Pfetterhouse
Retour, signalé 1946/47.
Je ne possède pas cette oblitération.
Falck-Sarreguemines
Aller, signalé 1953/56.
Retour, vu uniquement cette date.
Falck A Thionville
Aller, vu 1949/57.
Retour, signalé 1954/57.
Je ne possède pas cette oblitération.
Kruth A Mulhouse
Aller, signalé 1967.
Retour, signalé 1963/67.
Kruth A Mulhouse 1°
Aller, signalé 1949/54.
Retour, signalé 1950/58
Je ne possède pas cette oblitération.
Kruth A Mulhouse 2°
Aller, signalé 1948/50
Retour ?
Lauterbourg-Strasbourg 1°
Aller, signalé 1949/62
Retour ?
Lauterbourg A Strasbourg
Aller, signalé 1962/68
Bien que signalé jusque 1968 pour ce convoyeur (C/C), ce bulletin nominatif des dépêches nous donne une plus grande amplitude d’activité pour le C/C Lauterbourg à Strasbourg (1972). Le courrier à distribuer a été remis par l’ambulant Paris à Strasbourg au centre de tri de la gare de Strasbourg pour être remis au C/C Lauterbourg à Strasbourg.
Retour ?
Luxembourg-Strasbourg
Aller, signalé 1951/59.
Retour, signalé 1951/57.
Marcolsheim-Strasbourg 1°
Aller, signalé 1949/54.
Retour, signalé 1950/55.
Je ne possède pas cette oblitération.
Metz A Moyeuvre-Grande
Aller?
Retour, vu uniquement cette date.
Metz-Sarrebourg
Aller, signalé 1953
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour?
Metz A Sarrebourg
Aller?
Retour, signalé 1947/58.
Metz A Sarrebruck
Type 3
Aller?
Retour, signalé 1949/58.
Type 4 avant l’heure et une étoile dans la couronne. Commun à l’Alsace Lorraine surtout avant la seconde guerre mondiale.
Aller, vu uniquement cette date.
Retour, signalé 1951/57.
Metz A Sarrebruck
Type 4
Aller, vu uniquement le 05/08/1963.
Retour, vu 1963/67.
Metz-Thionville
Aller ?
Retour, signalé 1951/53.
Molsheim A Saverne 1°
Aller, signalé 1949/57.
Retour, signalé 1948/52.
Mulhouse à Saint-Louis
Aller, signalé 1963/67.
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour, signalé 1967.
Mulhouse à Saint-Louis 1°
Aller, signalé 1950/58.
Mulhouse à Saint-Louis 2°
Retour, signalé 1950/57.
Je ne possède pas cette oblitération.
Il est possible que la brigade N°1 soit l’Aller et la brigade N°2 le retour.
Mulhouse à Sélestat
Deux oblitérations différentes:
Lettres serrées
Aller, signalé 1950/61.
Retour, signalé 1948/50.
Je ne possède pas cette oblitération.
Lettres espacées
Aller, signalé 1963/67.
Retour, signalé 1962/68.
Type 4
Retour uniquement, vu 1971/72.
Ottrott A Rosheim
De 1969 à 1987, un train touristique, le « Train folklorique de Rosheim à Ottrott » (« S’Bimel-Bähnel » en alsacien), circule sur la ligne une dizaine de jours par an en juillet et août. Il est emprunté par 3 000 à 4 000 touristes chaque année. Le train est assuré par une locomotive à vapeur Borsig T3, un ancien wagon postal et des anciennes voitures SNCF modernisées. La desserte des carrières se fait avec des wagons trémies et des locotracteurs Renault. Il n’y a pas d’oblitération ferroviaire.
https://www.amiez.org/Activites/Activite_Passee2.php?N_Activite=543937
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Rosheim_%C3%A0_Saint-Nabor
Ottrott A Strasbourg 1°
Aller, signalé 1951.
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour?
Ottrott A Strasbourg 2°
Aller, signalé 1949.
Retour?
Je ne possède pas cette oblitération.
Saales Strasbourg 1°
Aller, signalé 1949/56.
Retour, vu uniquement cette date.
Saales A Strasbourg
Aller, signalé 1963/68.
Retour, signalé 1957.
Je ne possède pas cette oblitération.
Sarrebourg-Sarreguemines
Aller, signalé 1958.
Je ne possède pas cette oblitération.
Retour ?
Sarrebourg A Sarreguemines
Aller ?
Retour, signalé 1951/58.
Je ne possède pas cette oblitération.
Sarreguemines-Strasbourg 1°
Aller, signalé 1949/57.
Retour ?
Sarreguemines A Strasbourg
Aller, signalé 1964/67
Retour?, mais vu une oblitération sans dateur en 1971, cachet de réserve?
Saverne-Strasbourg 1°
Aller ?
Retour, signalé 1952/57.
Saverne-Strasbourg 2°
Aller, signalé 1949/57.
Retour, signalé 1949/57.
Je ne possède pas cette oblitération.
Saverne A Strasbourg
Aller, signalé 1966/68.
Retour ?
Saverne A Strasbourg 1°
Aller?
Retour, signalé 1956/62.
Saverne-Molsheim à Strasbourg(l’aller). Strasbourg-Molsheim à Saverne(le retour).
Aller ?
Retour, signalé 1963/64.
Sélestat-Molsheim-Strasbourg 2° (l’aller). Strasbourg-Molsheim-Sélestat 1° (le retour).
Aller, signalé 1949/56.
Retour, signalé 1949/54.
Il est possible que la brigade N°2 soit l’Aller et la brigade N°1 le retour.
Sélestat-Molsheim A Strasbourg
Aller uniquement, signalé 1963/67.
Strasbourg-Wissembourg 1°
Aller, signalé 1949/57.
Retour, signalé 1949/55.
Strasbourg A Wissembourg
Retour uniquement, signalé 1964/67.
Convoyeurs militaires français en Allemagne et en Autriche.
Plusieurs liaisons ferroviaires avec la R.F.A. (République Fédérale Allemande) seront en activité également. Liaison postale et inter-cité mais aussi dû à la présence de contingents de soldats français sur le territoire allemand jusque juin 2014, date où la toute dernière unité militaire française a été dissolue. Le 110ème régiment d’infanterie a donc fait ses adieux, le 24 juin, à Donaueschingen.
Un convoyeur militaire a circulé de 1952 à 1955 entre Strasbourg et Lindau via Kehl. Extrêmement rare, je n’ai vu que trois plis à ce jour.
Strasbourg A Lindau
Aller, signalé 1952/55.
Je ne possède pas cette oblitération.
Le retour n’est pas connu.
Un autre convoyeur militaire a circulé entre Lindau et Innsbruck.
convoyeur militaire Français en Autriche
Liens
https://openarchives.sncf.com/archive/0213lm0048
Cliquer pour accéder à SNCF-en-Alsace-Moselle-1939-1945-Colloque-AHICF.pdf
https://en.wikipedia.org/wiki/Railroad_plough
https://www.histoire-politique.fr/index.php?numero=32&rub=dossier&item=300
http://carte.postale.meroux.free.fr/photo22.html
Biblio:
Evolution du réseau ferré français.
2 réflexions sur « La poste ferroviaire en Alsace-Lorraine (A/L) 1945/90. »
Merci pour un autre tres bel article. J’apprends beaucoup de choses sur le service postal ferroviaire Francais que je ne connaissais pas. S’il vous plait continuer la beau travail.
Hello Richard
Merci pour ton compliment, amicalement, jm